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Le réchauffement climatique inquiète les viticulteurs des zones traditionnelles tempérées et notamment d’Espagne, de France et d’Italie qui produisent ensemble environ la moitié des vins du monde.
Les raisins ont tendance à murir de plus en plus tôt, à se charger en sucre d’où, pour les vins, augmentation de la teneur en alcool, perte d’acidité et affaiblissement des aromes.
Pour pallier ce phénomène, plusieurs mesures peuvent être envisagées, comme l’utilisation de nouveaux cépages – ce qui suppose une redéfinition des appellations -, la recherche d’altitude – facteur de rafraichissement – ou simplement la relocalisation dans des zones plus au nord pour notre hémisphère. L’irrigation est à proscrire car elle empêche la vigne de développer ses racines en profondeur pour chercher l’eau, perdant ainsi de précieux aromes liés au terroir.
Dans ce contexte, il est intéressant d’explorer des régions plus septentrionales qui apparaissent comme pionnières pour la viticulture du futur.
Nous avons dégusté les vins suivants :
o Royaume-Uni (Angleterre Kent) – Henners – Vins mousseux
o Suède (Skane) – Skepparps Vingard – Solaris Grand Prix – vin blanc
o Luxembourg (Moselle) – Bernard-Massard – Riesling Château de Schengen – vin blanc
o Belgique (AOP Côtes de Sambre et Meuse) – Domaine du Chenoy – vin rouge
o Allemagne (Ahr) – Weinhaus Nelles– Ruber Spätburgunder trocken- vin Rouge (DE)
